*L’aure-or
Merci
d'avoir décroché la nuit de mon lampadaire en-cheveux-très,
et
effleuré mon abri où le sOleil joue à cacher cacher ton aurore
boréale sous ma crinière. Tes rêves soufflent dans les ramages et
aurore-rond l'empreinte délicate et joyeuse de l'en-faon qui
en-chante le fil du temps sous la tonnelle brin-d'an-hier…
J'aime
tes sautillements, de pierre en pierre, quand ce goût de toi danse
sur mes mots nattés, jusqu'au jardin aux très-ors odoriférants,
qui chante et égaye l'écrin à la saine essence, là où les fleurs
côtoient leurs amies les étoiles de nos sOleils qui tournent les
jolies pages du jour qui scintillent encoeur !
Bises rendues.
Merci pour ton comment-taire.
Merci Âmi de l’e-toile pour tes mots jolis dans ta poésie éclairée.
Den
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