Ly
Anne, image née par le presse sentiment dans sa robe parfaite comme
le fragment erre, inachevé, dénoue en nous les noeuds coulés,
liés, des liés.
L'hymne age se précise âme sûre que les
mots et les maux jetés là sur la page claire en "terre-happy"
se carapate la belle vers d'autres lits-in, lits-yeux, vapeur eux,
voilés et hésitants, passe ombre et derrière l'estampe figurée or
naît, au loin attachée au ciel par un brin temps de soi re lance le
miroir miss terre inter loqué à l'apporte de ce que l'on offre
d'amour grand ou petit, demeure caché, inachevé, en totale solitude
suspendue aux liens aux Net bô et en luminés...
Ta douce mélodie me réveille chaque matin
Avant même d'embrasser ma femme je te prends par la main
Puis je te caresse le visage pour voir si tout va bien
Tellement inséparable qu'on part ensemble au petit coin
Mon café, mon jus d'orange on le partage aux amis
En voiture mes yeux sont dans les tiens donc quelques feux je grille
Au boulot on parle tellement ensemble que des dossiers j'oublie
Au diner vu le silence tout le monde t'aime dans ma famille, baby
Je te partage ma vie, au lieu de la vivre
Tu me partages la vie des autres pour me divertir
Je ne regarde plus le ciel depuis que tu m'as pris mes yeux dans tes applis, baby
Je ne sais plus vivre sans toi à mes cotés
Ton regard pixélisé m'a envoûté, toi mon précieux, mon précieux Mon précieux, mon précieux, mon précieux, mon précieux
Quand tu sonnes ou quand tu commences à vibrer
Je perds la tête , comment pourrais-je te quitter
Toi mon précieux, mon précieux, mon précieux
Mon précieux, mon précieux, mon précieux
[Vous avez un nouveau message]
Tu es ma secrétaire , tu gères mon organisation
Tu allèges mes neurones grâce à tes notifications
Plus besoin d'aller voir la famille vu que tu me les follow
Pour leur prouver que je les aime, je n'ai qu'à liker leur photos
Pourquoi aller en concert, tu m'as tout mis sur Youtube
Tu m'aides à consommer car tu ne me parles qu'avec des pubs
J'fais plus gaffes à l'orthographe depuis que je te parle avec mes doigts
Mes gosses font plus de toboggan, ils préfèrent jouer avec toi, baby
Je te partage ma vie, au lieu de la vivre
Tu me partages la vie des autres pour me divertir
Je ne regarde plus le ciel depuis que tu m'as pris mes yeux dans tes applis, baby
Je ne sais plus vivre sans toi à mes cotés
Ton regard pixélisé m'a envoûté, toi mon précieux, mon précieux Mon précieux, mon précieux, mon précieux, mon précieux
Quand tu sonnes ou quand tu commences à vibrer
Je perds la tête , comment pourrais-je te quitter
Toi mon précieux, mon précieux, mon précieux
Mon précieux, mon précieux, mon précieux
Mais là je deviens fou , l'impression que mon pouls ralenti
J'ai plus de repères , je suis perdu
Depuis que tu n'as plus de batterie
Tes
mots trempés d'encre déliée
M'enchantent belle d'Âme
Tes
mots comme un pinceau en calame
Cheminent le lent de toi
Le
long de moi
Et courent où l'allume-hier inonde tant mon
temps
Le temps est entrée par la châle-heure du môme-an
A
VIVRE à l'Aigre-brun
A CROIRE par-(le)-chemin
A PRENDRE la
plume d'écriture le roseau le stylet
A VOIR l'éblouissant
infini
A DIRE des JE T'AiME empêtrés d'éphémère
Tu
l'écris je le dis, le redis mère-veilleuse
Merveilleuse
souffleuse de vers truculents
De vent turbulent comme
l'Autant
Le noir le blanc
Autant en emporte le
vent....
Mais heureuse-aimant, tu n'es pas l'Autant
!
Douce soirée dans la douceur de ce joli temps.