Où es-tu passé pendant tout ce temps
Toi au cours velours
Tes mots bien cousus manquaient à la toile
Son effet-mère.
Dans les coins les recoins, caché besacé
Tu respirais l' ourlet de la terre à l' abri du ciel
Les splendeurs invisibles
A l'écart de ton âme sur le tableau du temps...
Puis tes pas poussés par l'autan joli
Ont retrouvé le chemin l'essaim la ruche riche
Qui en-chêne, où scintille le beau le nouveau qui dit ra-conte et conte.
Que l'an neuf puisse délier les lacets et les lacs
les filets les entre-noeuds ta sève qui emplit..
Douce année 2025 dans la paix la sérénité
Toi qui ne fais que passer.
Den
Bonjour, en voyageant de page en page à travers l’univers des blogs, je me suis arrêté un instant sur le vôtre… et quel bel arrêt ce fut, j’ai découvert un espace empreint de sensibilité, de beauté, et surtout d’une plume remarquable, vos écrits sont d’une délicatesse rare, et vos vers, portés par des rimes soignées, résonnent longtemps après leur lecture, touché par la qualité de votre univers, je me suis permis de m’inviter humblement parmi vos lectrices et lecteurs, à mon tour, je vous accueille avec grand plaisir dans mon propre espace, si le cœur vous en dit, je vous souhaite un très bel après-midi, doux et inspiré, et me réjouis à l’idée de vous lire à nouveau, bien à vous, Régis.
RépondreSupprimerSuperbe commentaire. Merci Régis... suis toute confuse..
RépondreSupprimerJe vous accueille volontiers dans les allées de mes mots et mes images et vais découvrir avec plaisir les vôtres. A bientôt.
Den
Ce texte est une caresse de mystère, un souffle de poésie qui évoque l'absence et le retour avec une douceur feutrée. Ces vers comme on brode une étoffe précieuse, entre secret enfoui et lumière retrouvée.
RépondreSupprimerj'aime ! :)
A bientôt Den :)
Veronique
Quel beau commentaire Véronique.
RépondreSupprimerMerci beaucoup.
Den