....bienvenue chez moi
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Bienvenue dans mon nouvel espace
"le crayon et la plume"
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vendredi 18 novembre 2016
mardi 15 novembre 2016
lundi 14 novembre 2016
*Peu importe le chemin....

Peu importe le chemin :
tous les chemins se valent.
L'important est de suivre le chemin qui a du coeur.
Carlos Castaneda
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dimanche 13 novembre 2016
*Un doux dimanche !

Je vous offre cette fleur sauvage
au coeur des beautés de l'automne.
Une douce journée à vous.
Je vous embrasse.
Den
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jeudi 10 novembre 2016
*La langue-aimant des poètes....
J'ai cherché la langue-aimant des poètes, des arbres et des fleurs,
Me suis arrêtée devant la porte entrouverte de vos mots,
Et j'ai découvert un haut-là, superbe,
Un nid accueillant comme un spectacle rencontre l'essence-ciel,
Là où la parole écrite ou chantée déambule,
Avec ses mots sucrés qui s'encrent sur la page,
Rythmant la longue marche, les jours fourbus, les saisons étirées,
Comme la rosée du matin inonde les beautés, dans l'union des pareils,
Et leurs contraires tendres et douloureux,
Et
Et
Attrape la main du passant, du passeur, enveloppée de mots gourmands.
Den
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lundi 7 novembre 2016
dimanche 6 novembre 2016
*Un dimanche tout doux....

"On ne reçoit pas la sagesse,
il faut la découvrir soi-même,
après un trajet que personne ne peut faire pour nous,
ne peut nous épargner".
Marcel Proust
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mardi 1 novembre 2016
*L'Automne......

Voici venu le froid radieux de septembre :
Le vent voudrait entrer et jouer dans les chambres ;
Mais la maison a l'air sévère, ce matin.
Et le laisse dehors qui sanglote au jardin,

Comme toutes les voix de l'été se sont tues !
Pourquoi ne met-on pas de mantes aux statues !
Tout est transis, tout tremble et tout a peur ; je crois
Que la bise grelotte et que l'eau même a froid.
Les feuilles dans le vent courent comme des folles ;


Elles voudraient aller où les oiseaux s'envolent,
Mais le vent les reprend et barre leur chemin :
Elles iront mourir sur les étangs, demain.



Le silence est léger et calme ; par minute,
Le vent passe au travers comme un joueur de flûte,
Et puis tout redevient encor silencieux,
Et l'Amour, qui jouait sous la bonté des cieux,
S'en revient pour chauffer, devant le feu qui flambe,
Ses mains pleines de froid et frileuses jambes,
Et la vieille maison qu'il va transfigurer,
Tressaille et s'attendrit de le sentir entrer.
Anna de Noailles (Le Coeur innombrable)
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