J'ai cherché la langue-aimant des poètes, des arbres et des fleurs,
Me suis arrêtée devant la porte entrouverte de vos mots,
Et j'ai découvert un haut-là, superbe,
Un nid accueillant comme un spectacle rencontre l'essence-ciel,
Là où la parole écrite ou chantée déambule,
Avec ses mots sucrés qui s'encrent sur la page,
Rythmant la longue marche, les jours fourbus, les saisons étirées,
Comme la rosée du matin inonde les beautés, dans l'union des pareils,
Et leurs contraires tendres et douloureux,
Et
Et
Attrape la main du passant, du passeur, enveloppée de mots gourmands.
Den
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