L'ombre a embrassé la mer le cil-anse
L'éphémère
L'alangui se prélasse
A fleur de corps l'accord effleure la peau
Réveille en partant le miroir le là-haut
Le chant les étoiles le bleu le chaud
Les arbres les fleurs les feuillages
Les sillages
Et ta bouche de rose enchante le décor
Se mêle et s'en-je veux-être son odeur jasminée
Son ambre vanillée
D'aile à elle
Tu nous contes ton secret ton coeur ton temps d'opaline
Bleu vert laiteux
Ouverts aux horizons à l'in-fine
Choyant la douceur du silence répandu
Sur vos peaux dorées vos musiques entendues
Den
****
J'ai l'impression que mon esprit butine comme l'ombre en lisant ce poème.
RépondreSupprimerMerci Laurent pour vos mots et votre esprit qui butine sur la page !
SupprimerVous êtes le bienvenu chez moi.
Merci de m'accueillir également chez vous et d'y avoir déposé un joli commentaire.
Douce soirée à vous.