Tu as respiré pour nous ce pan de ciel
qui mains tenants ruisselle
ces splendeurs invisibles
parlé au coeur de l'arbre sensible
dessiné ces arabesques sur le fil du silence
qui va vient se balance
chanté la douceur sucrée qui r'anime le mât-teint
pour l'intime de nous qui rêve et se repeint.
Den
*****
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Par Den :
Ecrire un commentaire :
Liens vers ce message :
Créer un lien :