"A l'Orient de tout, là où se souvient
La mer, l'orage a dispersé écailles
Des dragons, carapaces de tortues
Nous nous prosternerons vers le pur silence
Régnant par-delà la terre exilée
A l'heure du soir, à l'orient de tout
Où se lève le vent de l'unique mémoire"
François Cheng
Poème cueilli de "le livre du vide médian"
A l'Orient de tout
Gallimard (Poésie)
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